Disco

Didier Travolta, c’est le nom d’artiste de Didier Graindorge (Franck Dubosc). Avec deux comparses formant, il y a une vingtaine d’années, un trio de danse disco, il se remet en jambe en s’inscrivant à la Gin Fizz Academy, dans le but d’y décrocher le premier prix. Un prix sous forme de voyage pour deux personnes que Didier, endetté, divorcé, vivant chez sa maman, convoite afin d’offrir de vraies vacances à son fils qu’il revoit rarement.

Au-delà de quelques prises de vues intéressantes des docks du Havre, ce film n’accroche pas: un scénario farfelu, des personnages peu crédibles, arrogants (et pourtant le casting n’est pas en défaut!), une musique plutôt pauvrette incitant aux déhanchements... C’est une sorte de clip tape à l’œil, détestable et interminable. Les années disco faisaient rêver, DISCO rêve d’espèces sonnantes et trébuchantes… Le marchandising suffit!