Réalisé par | Richard Glatzer, Wash Westmoreland |
Titre original | Still Alice |
Pays de production | U.S.A., France |
Année | 2014 |
Durée | |
Musique | Ilan Eshkeri |
Genre | Drame |
Distributeur | frenetic |
Acteurs | Julianne Moore, Kristen Stewart, Alec Baldwin, Kate Bosworth, Hunter Parrish |
Age légal | 8 ans |
Age suggéré | 12 ans |
N° cinéfeuilles | 720 |
Alice (Julianne Moore) est une scientifique reconnue sur le plan international. Ses cours de linguistique à l’Université de Columbia, à New York, sont largement suivis. Et puis, voici qu’un mot lui échappe, puis un autre. Courant, comme tous les matins, elle se perd dans son propre quartier. Le diagnostic est sans appel, c’est la maladie d’Alzheimer. Dès lors, aidée par son mari (Alec Baldwin) et ses enfants, Alice apprend à perdre des bribes de sa vie et à profiter de ses derniers moments de conscience.
Il n’était pas nécessaire d’ajouter à la douleur de la situation en en faisant un cas rare, qui, de surcroît va se reporter inéluctablement sur les enfants. Au demeurant, la notion de l’hérédité tragique est rapidement abandonnée par le scénario. Le sujet est difficile, certes. Il traite de questions abstraites dont la gravité ne peut se contenter d’anecdotes, mais doit tout de même occuper l’écran.
Le film relate la longue étape entre l’annonce de la maladie et la disparition des ultimes lambeaux de mémoire. Des mois résumés en cent minutes, c’est privilégier les pleurs et l’action aux dépens d’une compréhension plus pénétrante du drame, de ce qu’il exige comme renoncements. Il est bien dommage que les réalisateurs ne se soient pas concentrés sur une période de la maladie afin de l’approfondir. Excellente actrice, Julianne Moore aurait su donner le change.
Geneviève Praplan
Nom | Notes |
---|---|
Geneviève Praplan | 9 |
14 | |
Antoine Rochat | 12 |
Anne-Béatrice Schwab | 15 |
Georges Blanc | 13 |
Nadia Roch | 12 |