Critique
Le film démarre sur les chapeaux de roue, comme une succession accélérée de clips clinquants mettant en scène un rappeur bling-bling, le bien nommé Fatal Bazooka... (dans la réalité, un personnage imaginé par Michaël Youn pour un spectacle télévisé). Disques vendus par millions, ligne de fringues, magazine, ouverture prochaine d’un parc d’attractions: tout devrait baigner pour le «gangsta» (bien franchouillard) qui, loin d’être un enfant du ghetto, est né Michel Lafondue dans un village savoyard...
De mauvais goût (trop de gros sel), lourde, la tartiflette au fromage rappé est fatale à l’humour.
Daniel Grivel