Critique
Dix ans après le deuxième volet, on reprend les mêmes et on recommence. Seulement la confection n’est plus un eldorado. Les affaires vont mal, ils ont dû quitter le Sentier pour émigrer à Aubervilliers où ils se heurtent à des concurrents dynamiques, les Chinois.
Que dire de plus si ce n’est qu’à partir d’un scénario délayé, peu inventif, truffé de gags caricaturaux, Thomas Gilou nous a concocté un film lourdingue et long comme un jour sans pain, bref, une comédie qui vole si bas que les taupes elles-mêmes ne doivent plus dormir tranquilles!...
Note: 5
Georges Blanc