Rampage - Hors de contrôle

Affiche Rampage - Hors de contrôle
Réalisé par Brad Peyton
Titre original Rampage
Pays de production U.S.A.
Année 2018
Durée
Musique Andrew Lockington
Genre Aventure, Action
Distributeur Fox-Warner
Acteurs Dwayne Johnson, Naomie Harris, Jeffrey Dean Morgan, Joe Manganiello, Malin Åkerman, Jake Lacy
Age légal 12 ans
Age suggéré 14 ans
N° cinéfeuilles 790
Bande annonce (Allociné)

Critique

Rampage: Big Meets Bigger, inspiré d'un jeu vidéo, semble n'avoir d'autre but que de divertir. Qu'importe l'incohérence du scénario, la dose de sentimentalisme final ou encore la reprise d'un même canevas dans le déroulement de l'intrigue.

Davis Okoye (Dwayne Johnson), un primatologue, a recueilli George, un singe albinos doté d'une intelligence exceptionnelle lui permettant de communiquer par le langage des signes avec son ami, qui lui a sauvé la vie. Leur amitié est mise à rude épreuve lorsqu'un agent pathogène, développé par un duo malveillant de frère et sœur, se répand et modifie l'ADN du primate, ainsi que celui d'un crocodile et d'un loup - croisé avec une chauve-souris. Dès lors, ces derniers deviennent de super-bêtes, avec une force, une agressivité, une résistance et une taille toujours accrues. Parallèlement, Davis, avec l'aide de Kate (Naomie Harris), une scientifique reconvertie dans la vente, partent à la recherche d'une potion afin de rétablir la situation.

Le film, au montage haché, repose essentiellement sur la démonstration des conséquences catastrophiques de cet accident : les trois monstres qui détruisent Chicago, grimpent sur les buildings, terrorisent les habitants. Les nombreux plans sur ce massacre, s'ils peuvent apparaître, peut-être, comme surprenants au début, fatiguent nécessairement par leurs répétitions.

Et après de "grandes frayeurs", tout rentre dans l'ordre: les méchants sont punis, l'amour et l'amitié sont au rendez-vous. Le spectateur, lui, peste contre ce cinéma qui se réduit à un simple enchaînement de scènes spectaculaires.


Sabrina Schwob

Appréciations

Nom Notes
Sabrina Schwob 4