Réalisé par | Nicolas Bary |
Pays de production | France |
Année | 2016 |
Durée | |
Musique | Rolfe Kent |
Genre | Comédie, Famille |
Distributeur | pathefilms |
Acteurs | Natacha Régnier, Pierre Richard, François Damiens, Sacha Pinault, Gwendolyn Gourvenec |
Age légal | 6 ans |
Age suggéré | 6 ans |
N° cinéfeuilles | 776 |
A l’origine, Spirou est une série belge de bande dessinée, créée par Tome et Janry, qui raconte les aventures d’un jeune groom en uniforme rouge et à la mèche rebelle. En 1983, les deux auteurs de la série imaginent la prime jeunesse de leur héros dans «La seule et incroyable histoire plus ou moins vraie de la jeunesse de Spirou». Plus de dix millions d’albums en français sont vendus.
Nicolas Bary a choisi d’adapter au cinéma cet album qui a marqué son enfance et l’a encouragé à concrétiser ses rêves de jeunesse, soit faire du cinéma. Il montre la volonté du Petit Spirou (Sacha Pinault) de choisir sa vie, alors que sa mère (Natacha Régnier) et son grand-père le destinent, contre son gré, à intégrer une école de grooms comme tous ses prédécesseurs. A la maison, son grand-père (Pierre Richard), un rigolo, coureur de jupons, lui apprend à porter des valises et à conduire des clients imaginaires dans un ascenseur d’un autre temps. Le Petit Spirou veut profiter de ses derniers jours d’école pour draguer sa copine Suzette et l’emmène faire une virée un brin déjantée dans une sorte de side-car bricolé avec ses potes. Les personnages qu’il côtoie sont un peu burlesques, de Monsieur Mégot, buveur de bière compulsif, à la voyante qui dit l’avenir dans sa roulotte encombrée, en passant par la prof de math, que les mômes matent en cachette, parce qu’elle est diablement sexy.
Tout au long du film on navigue entre décors rétro et modernité, entre gentils gags et moments un peu longuets.
Nom | Notes |
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11 |