Critique
Un vaisseau spatial transportant un véritable microcosme humain est percuté par une météorite. Il doit se poser en catastrophe sur une planète apparemment déserte et principalement hostile. Des vestiges métalliques recèlent des êtres furtifs et malfaisants. Lorsque les trois soleils éclairant le paysage desséché se seront couchés, la nuit donnera libre cours à ces ptérodactyles du futur.
Dans des décors à la sous-Gyger, ce long métrage de science-fiction n’est rien d’autre qu’un ALIEN de série C qui, contrairement aux affirmations de la publicité du film, ne renforcera pas votre peur du noir...
Daniel Grivel