Réalisé par | Andrew Stanton |
Titre original | Finding Dory |
Pays de production | U.S.A. |
Année | 2016 |
Durée | |
Musique | Thomas Newman |
Genre | Animation, Comédie |
Distributeur | waltdisney |
Acteurs | Mathilde Seigner, Franck Dubosc, Idris Elba, Céline Monsarrat, Philippe Lellouche |
Age suggéré | 6 ans |
N° cinéfeuilles | 750 |
Il y a une dizaine d’années, Le Monde de Nemo, signé du même réalisateur, avait enchanté nombre de spectateurs petits, surtout, et grands, par ses découvertes artistiques et son originalité. Sens du spectacle, humour, invention, frayeurs et émotions étaient au rendez-vous. Dans ce nouvel épisode, on retrouve les qualités et les valeurs humaines habituelles à ce genre de film: amour filial, solidarité, héroïsme, ainsi que cette volonté de rendre sympathiques même les animaux marins les plus inesthétiques.
Dory, un petit poisson chirurgien bleu amnésique, essaie de retenir les enseignements de ses parents. Un jour, elle est emportée par le courant dans un trou noir et se perd au milieu de l’océan. Devenue adulte, elle retrouve ses amis Nemo et Marin. Tous trois se lancent à la recherche du passé de Dory. Pourra-t-elle retrouver ses souvenirs? Qui sont ses parents? Et où a-t-elle bien pu apprendre à parler la langue des baleines?
La réussite de cette animation vient surtout du scénario, solide, plein de rebondissements et de judicieuses trouvailles, ainsi que du rythme soutenu et de l’apparition de personnages comiques et attachants. Dory rencontre ainsi un poulpe qui ne veut pas retourner dans l’océan: cet animal se fond et se glisse partout, il paraît rude au premier abord mais se révèle un ami tendre et fidèle en fin de compte. C’est ainsi que ce monde sous-marin est loufoque et touchant, surtout quand il se retrouve la tête hors de l’eau. Voilà un bon divertissement estival.
Georges Blanc
Nom | Notes |
---|---|
Georges Blanc | 12 |
Geneviève Praplan | 12 |