Réalisé par | Shane Black |
Pays de production | U.S.A. |
Année | 2016 |
Durée | |
Musique | John Ottman, David Buckley |
Genre | Comédie, Policier |
Distributeur | elitefilms |
Acteurs | Russell Crowe, Kim Basinger, Ryan Gosling, Matt Bomer, Margaret Qualley |
Age légal | 16 ans |
Age suggéré | 16 ans |
N° cinéfeuilles | 747 |
Une vedette du cinéma pornographique a été tuée dans un accident de voiture. Pourtant, sa tante affirme l’avoir aperçue dans sa maison après sa mort. Le détective privé alcoolique Holland March (Ryan Gosling) et Jackson Healy (Russel Crowe) qui, lui, ne boit plus, sont chargés de l’enquête. La fillette (Angourie Rice) de Holland prend plaisir au jeu et ne néglige pas le coup de main. Il s’avère qu’il y a de la corruption dans le milieu automobile.
Ce n’est pas la première fois que le cinéma commercial étasunien glisse dans ses décors un sujet écologique. L’action du film se déroule dans les années septante, époque où l’on commençait à dénoncer les voitures polluantes. Les catalyseurs allaient réduire le problème, certes, mais pour autant que l’industrie accepte de les poser…
Cependant, le propos vertueux existe à peine dans The Nice Guys. Le film se préoccupe surtout de ressasser un style humoristique connu et de multiplier les séquences de cascades, selon le modèle «tous les coups sont permis».
Le générique pèse lourd, conçu pour attirer le public. Si celui-ci peut trouver du plaisir à voir jouer Ryan Gosling et Russel Crowe, se laissera-t-il charmer par une Kim Bassinger qui ressemble beaucoup plus à une cliente des cliniques rajeunissantes qu’à une cheffe de la police. Bref, The nice guys n’est qu’un divertissement. Mais Shane Black aurait pu lui donner un peu plus d’originalité.
Geneviève Praplan
Nom | Notes |
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Geneviève Praplan | 9 |
Serge Molla | 9 |
Georges Blanc | 5 |