Réalisé par | John Crowley |
Pays de production | Irlande, Grande-Bretagne, Canada |
Année | 2015 |
Durée | |
Musique | Michael Brook |
Genre | Drame, Romance |
Distributeur | foxwarner |
Acteurs | Julie Walters, Jim Broadbent, Saoirse Ronan, Emory Cohen, Domhnall Gleeson |
Age suggéré | 10 ans |
N° cinéfeuilles | 742 |
Dans les années 1950, beaucoup d’Irlandais, poussés par la crise, quittèrent leur terre natale pour tenter leur chance à New-York. Parmi ces immigrants qui rêvaient d’un avenir meilleur, la toute jeune et naïve Eilis Lacey(Saoirse Ronan) qui trouve en Amérique un travail de vendeuse dans un grand magasin,loge dans une pension pour jeunes filles comme il faut et suit des cours du soir pour devenir comptable. Elle découvre une autre culture et s’y fait prudemment. Un jeune immigré italien l’apprivoise et lui fait peu à peu oublier le mal du pays qui la taraude. Elle l’épouse mais veut retourner une fois encore en Irlande, sa sœur venant de mourir et sa mère se retrouvant toute seule. Elle est alors écartelée entre deux pays mais bientôt aussi… deux hommes.
« J’ai cherché à témoigner de la réalité de l’immigrant au sens large », explique le réalisateur John Crowley qui a lui-même émigré d’Irlande en Grande-Bretagne. Si l’immigration en est le thème, le film tourne vite en une bluette un peu ennuyeuse dans des années 50 revisitées, façon « vintage » terriblement kitsch. De Brooklyn, on ne voit rien: visiblement le film n’y a pas été tourné. On a l’impression par moments que le film a été tourné en 1950 et colorisé par la suite. La romance de la jeune femme et son dilemme amoureux ne nous tiennent vraiment pas en haleine. Le problème de l’immigration qui y est abordé de façon rassurante n’a rien à voir avec celui auquel notre monde est confronté aujourd’hui.
Nom | Notes |
---|---|
10 | |
Geneviève Praplan | 12 |
Antoine Rochat | 12 |