Critique
Memphis Raines (Nicolas Cage) était le plus grand des voleurs de bagnoles. Mais il s'est rangé... Pour sauver son frère, impliqué dans un sale coup, Memphis se voit obligé de voler 50 automobiles en 24 heures s'il veut revoir son frangin vivant.
Pour réussir, Memphis fait appel à son ancienne équipe de «spécialistes» y compris son ex-petite amie Sara, qui malgré ses rancoeurs, accepte de l'aider. Mais deux policiers qui connaissent le milieu ont flairé le coup et surveillent Memphis de près.
La recette est éprouvée pour un film d'action. Tout est prétexte pour filmer une série de poursuites en voiture dans des scènes pétaradantes et dans des décors de pubs. C'est mince et répétitif, c'est gras et bruyant. Toutefois sur le plan technique le film est bien réalisé.
On s'accroche à son siège avec un léger frisson mais les personnages sont inintéressants, mal définis. Comme le veut le genre, quelques scènes de combat sont violentes, les dialogues sont souvent vulgaires et grossiers.
Les amateurs de films qui font «vroum vroum» seront déçus car depuis bien longtemps on a vu de meilleures poursuites en étant moins abruti en sortant.
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