Réalisé par | Raphaël Nadjari |
Pays de production | Israël, France |
Année | 2012 |
Durée | |
Musique | Jocelyn Soubiran, Jean-Pierre Sluys |
Genre | Drame |
Distributeur | inconnu |
Acteurs | Moni Moshonov, Ori Pfeffer, Michaela Eshet, Maya Kenig, Bethany Gorenberg |
Age légal | 16 ans |
Age suggéré | 16 ans |
N° cinéfeuilles | 692 |
Saul (Ori Pfeffer), infirmier dans un centre médical, vit seul depuis son divorce, essayant tant bien que mal de s'en sortir. Les contacts épisodiques avec son ex-femme et sa fille Ronit (huit ans) sont tendus. Chaque fois que sa solitude lui pèse, il enfile un survêtement et va courir. Abruptement et sans en avertir l'intéressé, il décide de rendre visite à son père Simon (Moni Moshonov) qu'il ne voit plus depuis cinq ans et qu'il tient pour responsable de tous ses maux. Veuf, l'homme a refait sa vie avec Bathy (Michaela Eshet), qui tient une boutique d'amulettes en pierres semi-précieuses, et s'adonne au yoga. Suite à deux chutes ressemblant à des actes manqués, Saul se retrouve plutôt amoché. Pendant son sommeil, il est «soigné» par Bath, Simon et Ronit, selon un rituel ésotérique...
Depuis son cinquième long métrage Tehilim, Raphaël Nadjari a passé pas mal de temps sur la réalisation d'un documentaire, Histoire du cinéma israélien. Dans sa nouvelle fiction, présentée à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, il s'intéresse de nouveau à des tribulations familiales, laissant à ses acteurs une large marge d'improvisation. La lenteur du film traduit bien les états d'âme du «héros», à qui on peine à s'intéresser tant il se regarde le nombril.
Daniel Grivel
Nom | Notes |
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Daniel Grivel | 8 |
Georges Blanc | 10 |