Amour et turbulences

Alors qu’un avion la ramène de New York à Paris où elle s’apprête à se marier, Julie (Ludivine Sagnier) se retrouve assise à côté d’Antoine (Nicolas Bedos), un séduisant débauché qu’elle a aimé trois ans plus tôt. Elle va tout faire pour l’éviter alors qu’il compte, lui, sur ces sept heures de vol pour la reconquérir. L’occasion pour nous de voyager dans le passé et de revivre leur rencontre, leur amour, leur rupture, autant de scènes «rocambolesques, romantiques et corrosives» (dixit la publicité) qui vont faire de ce voyage le plus bouleversant de leur vie et, pour nous, le plus détestable de nos après-midi!

Après les lamentables comédies que nous a réservées la production française cet hiver, on croyait avoir touché le fond des fonds. Eh bien non! Passe encore pour la débilité, on y est habitué, mais lorsque s’y greffent la vulgarité et la trivialité, il n’y a plus rien à ajouter. Triste cinéma…