Critique
Fin des années 50: guerre froide, équilibre de la terreur et course à l'espace. Un engin mystérieux venu d'ailleurs s'écrase dans une forêt du Maine et un géant métallique en surgit, qui se nourrit de ferraille. Un gamin qui n'a pas froid aux yeux, Hogarth Hughes, se lie d'amitié avec la machine de guerre qui se transforme en géant bienveillant. Les sentiments sont bons, mais la réalisation n'est pas à la hauteur. Sur écran large, l'animation de personnages à la sous-Grimaud est pauvre. Des personnalités connues ont beau avoir prêté leur voix, les chansons d'époque sont plaisantes, le courant n'en passe pas pour autant.
Daniel Grivel