Critique
Une mère (Mary-Louise Parker) larguée par son mari quitte New York et va s’installer avec ses enfants - une adulescente, Mallory (Sarah Bolger) et deux jumeaux, Jared et Simon (Freddie Highmore) - dans un patelin provincial, dans une maison appartenant à une vieille tante internée dans un hôpital psychiatrique. La maison a été habitée par le père de cette tante, Arthur Spiderwick (David Strathairn), sorte de professeur Nimbus s’étant intéressé aux forces occultes et ayant consigné ses découvertes et recettes dans un grimoire. L’un des jumeaux trouve ce manuscrit et, ce faisant, ouvre la boîte de Pandore...
Le film démarre en douceur, installant par petites touches une ambiance trouble, puis dérape dans une débauche d’effets spéciaux un peu ringards au demeurant. Ce qui se voulait un conte pour enfants vire à l’épouvante soft.
Daniel Grivel