Critique
Ce film est l’adaptation cinématographique du roman The Dark is Rising de la Britannique Susan Cooper.
Le jeune Will (Alexander Ludwig) apprend soudainement qu’il est le dernier représentant d’une lignée de guerriers immortels capables de voyager dans le temps. Il se voit imposer la mission de sauver le monde de l’emprise des Ténèbres. Il va devoir trouver six signes de Lumière dispersés à travers différentes époques afin d’empêcher un Chevalier des Ténèbres de provoquer la fin du monde.
Mélange d’aventures, de sorcellerie et de tourments de l’adolescent, ce film fait penser à un pâle reflet de la saga d’Harry Potter. Le réalisateur déploie l’histoire au pas de charge, promène son héros d’un empire à l’autre, le confronte à des guerriers d’épopées sans le moindre ménagement. Des images bien léchées, quelques effets spéciaux pour une histoire qui nous semble plus proche d’un charabia fantastico-ésotérique que d’un parcours initiatique. Ne pas prendre des vessies pour des lanternes!
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