Critique
Lorsque cette assistante de production d’une chaîne de télé se rend en boîte pour fêter une promotion et qu’elle y rencontre Ben Stone, plus glandeur que mauvais gars, elle ne sait pas encore que cette nuit va porter des fruits non programmés.
Le titre français de ce film laisse augurer du niveau d’un tel cinéma. Si l’on se souvient que le réalisateur et l’acteur principal étaient déjà réunis dans une comédie intitulée 40 ANS, TOUJOURS PUCEAU (2005), on constate que les deux compères ont fait du chemin, mais uniquement dans le sens de la vulgarité et de la débilité. Et si l’on sait que ce film a engrangé 140 millions de dollars cet été aux USA, il y a de quoi se faire du souci sur le genre de public atteint par cette malédiction!
Georges Blanc