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Dossier spécial LOCARNO SHORTS WEEKS
Dossiers/Entretiens le 10 mars 2021
Lire la suite...Pour faire suite à l’édito du 18 mars, nous consacrons ici quelques pages au court métrage, format rarement considéré en soi indépendamment des programmes dans lesquels il s’insère d’habitude, que ce soit au sein de sélections spécifiques en festivals ou en amont de la projection de longs métrages dans les salles. Ici, nous proposons de l’appréhender dans une certaine diversité: par l’œuvre de la cinéaste néo-zélandaise Jane Campion (qui en a réalisés en parallèle de ses œuvres, les plus connues), à travers une partie de la sélection de la Locarno Shorts Weeks et par le film de diplôme de Kimy...
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Cinéma et génération(s)
Dossiers/Entretiens le 18 juin 2020
Lire la suite...Le cinéma vient de payer un lourd tribut au coronavirus. Avec la reprise programmée des projections en salles on peut se demander comment le 7e art va réussir à réorganiser sa vie - même si on nous promet (en plus et en passant) un Drive-In Cinéma dans une vingtaine de nos villes… Ces trois derniers mois, chacun s’est contenté (ou pas) des projections de films sur le petit écran de la télévision familiale, sur l’ordinateur, la tablette ou le portable, en utilisant tous les supports à disposition: un pis-aller ingénieux et pratique sans doute, mais on se réjouit tout de même de pouvoir bientôt ...
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La société vue par le cinéma de genre
Dossiers/Entretiens le 06 juin 2020
Lire la suite...Alors que le cinéma fantastique ou d’épouvante est souvent vu comme un genre inférieur, qui plaît à un certain public féru de sensations fortes mais pas forcément d’intrigues des plus intelligentes, les réalisations de ces dernières années ont donné tort à cette préconception hâtive. En effet, si une partie des œuvres récentes n’échappe pas à un certain formatage et manque d’originalité (la saga tirée de l’univers Conjuring - dont Annabelle et ses suites, et La Malédiction de la dame blanche - en est un exemple, exploitant le succès d’un film très réussi pour en tirer des peloches sans surpris...
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Imaginer le futur: un peu de science-fiction
Dossiers/Entretiens le 06 juin 2020
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On a entendu bien des choses à propos de la pandémie du coronavirus, en particulier qu’elle ressemblait à un scénario raté d’un mauvais film de science-fiction. Ailleurs on a ironisé en disant que ledit virus avait réussi à réduire au silence le 7e art et à renvoyer au vestiaire tous les films déjà programmés… Si la deuxième remarque est (presque) exacte, on remarquera que la première, s’agissant de science-fiction, mélange un peu tout et n’importe quoi. On a peut-être tendance à coller cette étiquette à tout événement qui sort de l’ordinaire, à tout film qui flirte un tant soit peu avec l’in...
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« Mon élément naturel, c'était le désordre des choses »
Dossiers/Entretiens le 06 juin 2020
Lire la suite...On l’a lue ou entendue à de multiples reprises depuis quelques jours à propos de Michel Piccoli (1925-2020). Nous n’allons donc pas reprendre l’expression éculée de « monument du cinéma français ». Pour rendre hommage à cet acteur inclassable dont la filmographie est aussi longue (200 films) que diversifiée, nous reviendrons plutôt sur quelques-unes de ses prestations, dans des œuvres qui n’ont pas forcément été oubliées mais qui ne sont pas celles auxquelles on pense en premier lorsqu’on évoque ce magnifique comédien. Nous ne parlerons donc pas du Mépris, de Max et les ferrailleurs, d’Habemus...
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Chronique 4 - Puisqu'il faut attendre...
Dossiers/Entretiens le 13 mai 2020
Lire la suite...Poursuivons notre promenade dans la mémoire du cinéma.
Nous parlerons d’abord de Marie-Octobre, une œuvre saisissante dialoguée par Henri Jeanson et mise en scène par Julien Duvivier. Sorti sur les écrans en 1959, le récit se déroule à la même époque. Un soir, dans une grande propriété bourgeoise située dans les environs de Paris, une femme et neuf hommes partagent un copieux repas, dans une ambiance festive et joyeuse. Quinze ans plus tôt, pendant l’occupation allemande, tous ces personnages faisaient partie d’un même réseau clandestin, très actif dans la Résistance. Jusqu’à la nuit où, suite...
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Des démons connectés ?
Dossiers/Entretiens le 29 avril 2020
Lire la suite...Pour le cinéma d’épouvante, le tournant des années 2010 est marqué par le déclin du sous-genre du found footage* et une tentative peu concluante de retour du slasher**, avec des films comme les remakes de Vendredi 13 (Marcus Nispel, 2009) ou de Freddy - Les griffes de la nuit (Samuel Bayer, 2010). Par la suite, les producteurs spécialisés dans ce pan du cinéma de genre ont trouvé leur poule aux œufs d’or dans des longs métrages qui mettent en scène une puissance invisible envahissant le quotidien d’une famille ou d’un groupe d’amis.
Maisons maudites, esprits, démons : nombreuses sont les entit...
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Richard Kelly, un talent égaré dans ses failles spatio-temporelles
Dossiers/Entretiens le 29 avril 2020
Lire la suite...Petit génie méconnu du grand public, Richard Kelly était un des talents les plus prometteurs du cinéma indépendant américain au début des années 2000. Après trois films extrêmement intéressants mais au succès confidentiel, on est sans nouvelle de ce réalisateur depuis 2009. Sa maigre mais ô combien captivante filmographie valait bien un coup de projecteur.
En 2001, deux petits films réalisés par des auteurs alors inconnus sont sélectionnés au Festival du film de Sundance célébrant le cinéma indépendant. Concourant dans la catégorie «meilleur scénario», on y trouve Memento de Christopher Nolan ...
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Chronique 3 - En attendant toujours la suite...
Dossiers/Entretiens le 29 avril 2020
Lire la suite...Continuons notre petit tour de quelques œuvres qu’il fait bon voir ou revoir. Avec cette fois un point commun: les trois sont signées du même cinéaste.
Quand on cite le nom d’Henri Verneuil (1920-2002), «poids lourd du cinéma» vient immédiatement à l’esprit. Poids lourd en termes de solidité, de technique, d’action, de castings, mais aussi de réussites financières. On lui doit plusieurs films ayant figuré parmi les plus gros succès commerciaux du cinéma français : Le Clan des Siciliens, Peur sur la ville, Cent mille dollars au soleil, Un singe en hiver, Le Casse ou Mélodie en sous-sol. Des fil...
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Le documentaire, hier et aujourd’hui
Dossiers/Entretiens le 08 avril 2020
Lire la suite...Quand on essaie de définir ce qu’on appelle un «documentaire», on est tenté de dire qu’il s’agit d’un cinéma qui ne recourt pas à la fiction et qui cherche à représenter, avec le plus d’objectivité possible, la réalité qui nous entoure. Mais il convient d’ajouter immédiatement que ce n’est pas aussi simple: il y a, on le sait, beaucoup de films de fiction qui sont de véritables documents sur la réalité du monde, comme il y a aussi des films qui se présentent comme des documentaires mais qui ne sont pas toujours en règle avec ce réel qu’ils prétendent décrire. Sans compter ceux qui flirtent ave...